Jean Gailhac : évolutions

Le projet avance, mûrit…

 

A mon grand regret, la pierre de Vers, rejetée par le Conseil d'administration est remplacée par des murs de béton banché, isolés par l'extérieur. On perd en beaucoup dans la visée "développement durable" (la pierre, bien que coûteuse à transporter, est imbattable en énergie grise réduite au minimum…), on gagne en souplesse dans les formes, les dimensions.

 

Les toitures terrasses plantées, que l'on sait enclines aux visites "sauvages" des enfants de la MECS, sont rendues plus accessibles : lorsque l'on ne peut luter efficacement contre une chose, on l'organise… Du coup : pourquoi pas y installer des carrés de potagers en plessis ? Et aussi les garde-corps deviennent nécessaires : pour ne pas chapeauter le bâtiment d'un accessoire incongru dans l'esprit de cette architecture, les murs sont remontés, et couronnés de 3 lisses de bois.

 

Un grand brise-soleil de pièces de bois suspendues vient abriter le bâtiment d'administration.