Géobiologie : pourquoi harmoniser sa maison (et son lieu de travail !)

Vertical entre Ciel et Terre, comme l'Arbre, l'Homme est soumis aux énergies telluriques, aux énergies cosmiques. Ces énergies sont nécessaires à la Vie, mais il peut arriver qu'il y ait un déséquilibre entre cosmique et tellurique, ce qui a une incidence sur la santé, le bien-être. L'usage des courants électriques artificiels, des ondes telles que wi-fi, GSM, DECT, peuvent provoquer ou accentuer ces déséquilibres. La géobiologie étudie ces aspects, trouve et met en œuvre les remèdes opératifs à ces déséquilibres. Nous baignons dans des flots d'énergie qui viennent du Cosmos, d'autres de la Terre. Ces énergies sont nécessaires à la Vie. Il n'existe pas d'énergies "nocives" ou "bénéfiques", mais il peut arriver qu'il y ait un déséquilibre dû à la configuration des lieux ou à la géologie. Ce déséquilibre n'est pas bon pour la santé humaine, ni même au vivant en général. Cela peut être provoqué/accentué par l'usage des courants artificiels, parfois même très éloignés.

Pour localiser ces déséquilibres j'utilise d'abord des instruments de mesure physique (pour mesurer les champs électriques basse et hyper fréquence, les champs magnétiques), mais aussi des instruments sensitifs. J'équilibre les lieux en posant en un point précis un objet qui aura une action physique sur la circulation des énergies du lieu : aucune situation n'est immuable, même si certaines sont plus difficiles que d'autres. Tout cela peut être vérifié par un test musculaire (le corps ne réagit pas de la même façon lorsqu'il est soumis à un environnement stressant pour lui : c'est le principe du détecteur de mensonges, par exemple), avant et après harmonisation. C'est le corps qui est malmené, c'est à lui de parler !

La géobiologie ne soigne pas : elle rétablit des circulations d'énergies, ce qui a une incidence sur notre santé.

Il existe 2 grands types de rayonnements : ionisants et non-ionisants, qui n'ont pas les mêmes effets sur la santé :

Les rayonnements ionisants ont un effet sur l'ADN (le code de reproduction des cellules : code abîmé = reproduction anarchique des cellules, cancer dans le langage courant), et sont générés par certaines veines d'eau souterraines (pas toutes) et les failles géologiques. La partie magnétique des champs électromagnétiques artificiels 50 Hz a les mêmes effets que les rayonnements ionisants.

Les rayonnements non-ionisants ont eux une influence sur le système nerveux (maux de tête, malaises, insomnies, dépression) et sur le système endocrinien (augmentation de l'activité de la Thyroïde, des Surrénales, diminution de l'activité du Thymus, des glandes génitales). Les réseaux telluriques et les rayonnements électromagnétiques artificiels, sont à l'origine de ces radiations non ionisantes.

La maladie est toujours multifactorielle. C'est en cela précisément que le travail du géobiologue est complémentaire de celui du thérapeute (allopathe, homéopathe, ostéopathe, kinésithérapeute, naturopathe, acupuncteur, psychothérapeute, sophrologue, etc...). Lors de mes interventions de géobiologue j'observe régulièrement des valeurs de 300 Volts/mètre sur des oreillers, parfois jusqu'à 700 V/m (maximum d'après l'OMS : 10 V/m, la prudence voudrait que l'on ne dépasse pas une exposition d'1 V/m pendant le sommeil, 10 V/m le reste du temps). Pour les champs induits par les hautes fréquences (GSM, téléphones sans fil DECT, antennes relais, paraboles, liaisons informatiques sans fil Wi-Fi... Et "fuites" des fours micro-ondes !) il est conseillé de les limiter à 0,6 V/m...

Il faut savoir par ailleurs que la nuit les rayonnements telluriques sont 3 fois plus puissants, et que pendant le sommeil le corps se "défend" moins efficacement.

Sur cette Terre nous n'avons qu'un seul corps : il est précieux si nous voulons jouir de la Vie ! Un corps qui est normalement construit pour s'auto-équilibrer... Mes interventions se terminent toujours par un examen des corps énergétiques des habitants : il est courant de retrouver un déséquilibre énergétique dans la partie du corps qui est couchée sur un point géopathogène.