Architecte & géobiologue : quel intérêt ?

"Je continue : dehors la nuit, je comprends que la science est née de la beauté, du désir de la comprendre."

Erri de Luca, "Trois chevaux", traduction Danièle Valin, Gallimard 2001


Certains confient au géobiologue l’analyse du lieu pré-existant, puis la réalisation de leur lieu de Vie, de travail à l’architecte... Comme si le lieu avant et après la construction n’en était pas changé ! Bien sûr qu’une construction commence d’abord par une destruction : celle du lieu pré-existant. Dans ces conditions, quelle est la validité d’une analyse préalable, fût-elle fine ?

 

Je sais harmoniser des lieux existants de Vie, de travail, comme architecte & géobiologue je construis en harmonie avec l'énergie du lieu & celle de la famille occupante.

 

Au-delà de l'électromagnétisme, les formes "émettent". Improprement nommées au début du 20ème siècle les "ondes de forme", il a été démontré depuis qu'il ne s'agit pas d'un phénomène ondulatoire, mais de "quelque chose" de plus subtil, sans doute en lien avec ce qu'en Occident on appelle l'Ether, en Egypte le Ka, en Inde le Prana, en Chine le Qi, au Japon le Ki : une "énergie" sous-jacente, régulatrice de la Vie. Une forme, quelqu'elle soit, a une influence sur la circulation de cette "énergie", elle peut soit la faciliter, soit l'empêcher, la bloquer. C'est ainsi que les formes peuvent "accentuer" une perturbation tellurique, ou bien la "gommer". La forme que prend la construction a ainsi une action néfaste ou bénéfique sur le lieu, sur son tellurisme d'origine, & ses habitants. Il est facile de démontrer cette action, sur le lieu, par un simple test musculaire pratiqué sur les habitants, avant même la construction.

 

De leur côté, les mesures ne sont pas neutres sur la circulations des énergies sur le lieu : certaines gammes de mesures, en harmonie avec celle de l'Homme, peuvent conforter ou diminuer l'effet des formes. C'est le cas notamment de la Coudée Royale Egyptienne, & de ses mesures "filles" : le Pied, l'Empan, la Palme, la Paume, qui entretiennent entre-elles un rapport harmonique.

 

En résumé, un habitat sain c'est : un bon placement dans l'espace + une bonne forme + une bonne mesure. Tout cela étant relatif au lieu, aux habitants, à leurs spécificités.